Les arguments pour convaincre quelqu’un sont, à la base, situés du côté du Je. Vous défendez votre opinion et chaque argument porte un risque que vous dites, ‘Vous n’avez pas pensé à cela mais moi, si’. Dans ce cas, ils déclencheront le comportement du Je. En effet, un argument déclenche un autre. Cela mènera à un débat du côté du Je, où chaque partie défend sa propre position. Cela peut être très efficace lorsque quelqu’un est capable de tirer la conversation vers le côté du Nous pour trouver une conclusion ou une situation de gagnant-gagnant. Sinon, le débat continuera jusqu’à ce que l’une des paries se retire. Si les arguments sont vraiment basés sur des faits, ils peuvent être considérés du côté actif du Nous.

Les arguments peuvent être un vrai danger pour le statut de l’autre personne, puisque chaque argument porte le risque de dire, ‘Vous n’avez pas pensé à cela mais moi, si’. Cela peut mener à une confrontation pour savoir qui est le plus intelligent. Plus les arguments deviendront personnels, émotionnels et moins factuels, plus ils portent atteinte au sentiment d’équité. Quand les arguments de celui qui crie le plus ou de celui qui est le plus à l’aise verbalement sont validés, le sentiment d’équité sera perdu.